Tout le monde a le droit à une deuxième chance. Mais certains doivent affronter la mort pour la mériter.
Depuis des milliers d’années, de nombreux récits mentionnent l’une des manifestations humaines les plus vertigineuses : l’expérience de mort imminente (EMI), expérience subjective d’un au-delà, cet endroit où nous vivrions après notre mort.
Ses effets se révèlent après-coup, en fonction de l’intensité du phénomène. Les ambitieux revoient leur priorité. Les athées redéfinissent leurs valeurs. Les scientifiques, leurs croyances.
Et si les conséquences d’une EMI s’avéraient enfin incontestables ?
Et si quelqu’un développait soudain la faculté de peindre des chefs-d’œuvre ayant pour sujet sa propre EMI, un talent qu’il ne possédait pas auparavant ? Et si cette même personne pouvait tout à coup composer une symphonie ? Et si cette symphonie, interprétée par un orchestre classique, se jouait à guichet fermé, devant son auteur toujours incapable d’écrire ou de lire la moindre partition ? Ne s’agirait-il pas d’une preuve que même les plus cartésiens d’entre nous auraient du mal à réfuter ?
Après son EMI, c’est exactement ce qui est arrivé à David.
David Ditchfield a subi un accident : il a été traîné sous les roues d'un train à grande vitesse. À l'hôpital, il vit une incroyable expérience de mort imminente (EMI). Une expérience qui le transforme à tout jamais. Revenu de l'au-delà chargé d'une énergie incroyable, David Ditchfield se met à peindre des peintures époustouflantes, témoins de son EMI. Puis il écrit une symphonie qui se joue à guichets fermés. Sans avoir jamais pris de cours de peinture ni de musique. David Ditchfield a écrit ce livre pour dire à tout le monde qu'il n'y a rien à craindre après la mort, la vie continue. Avant son EMI, sa vie était complètement régie par la culpabilité et le manque d'estime de soi. Mais son EMI lui a donné l'amour de soi et la confiance nécessaire pour avoir le courage de suivre ses rêves. C'est de ce sentiment merveilleux dont nous parle ici David Ditchfield.